La luminothérapie parfois nommée photothérapie fait partie des méthodes de médecine douce ou périodique. Son principe est de s’exposer tous les jours à une lampe copiant l’illumination naturelle chez soi ou en dispensaire, afin de diminuer les problèmes reliés à l’insuffisance de luminosité.

Conception de la luminothérapie

La luminothérapie est un genre de photothérapie qui implique à s’étaler devant une lampe copiant la lumière du soleil. La puissance du luminaire doit être entre 2 500 et 10 000 lux pour être pratique. Durant l’exposition, la rétine via les neuromédiateurs inhiberait la mélatonine, une substance hormonale sécrétée normalement avant de s’endormir. Avec une exposition à une lumière synthétique recréant les modes de luminosité du soleil, la luminothérapie permet de freiner la sécrétion de la mélatonine. L’individu retrouverait davantage de vivacité.

La luminothérapie pour combattre le baby-blues

Juste après la naissance, près de la moitié des mères vit une période de baby-blues. Il survient durant le 2 ème et le 4 ème jour qui suit l’accouchement et continue deux jours tout au plus. Lors de cet épisode, la jeune mère pleure tout en étant très sensible et pense ne pas être au niveau. Le baby-blues est fréquemment sans lendemain, ce qui le démarque de la dépression post-natale ou post-partum. La dépression post-natale, survient 1 à 2 mois après la naissance du bébé et peut s’allonger jusqu’à ses deux ans et elle concerne généralement 15 % des accouchements. L’état pessimiste peut survenir même au cours de la grossesse. Il est conseillé de faire des séances de luminothérapie durant et après la grossesse pour améliorer l’état psychologique des jeunes mères.

Les avantages de la luminothérapie 

D’après la HAS, la photothérapie, couplée à l’usage d’un simulateur d’aube, a montré son utilité dans le traitement de la déprime saisonnière. Le patient s’expose trente minutes par jour, au réveil, à une lumière de 10 000 lux, copiant la lumière naturelle du soleil. Selon les spécialistes, elle aurait régulièrement montré un intérêt avec les troubles du sommeil et le travail de soirée et le décalage horaire. Les cycles éveil ou sommeil seraient en conséquence resynchronisés grâce à cette manifestation aux heures de la journée, et plus principalement le matin au réveil. En plus, la luminothérapie est utile contre la dépression classique.

La luminothérapie peut donc soigner les blues hivernaux, la dépression et le trouble alimentaire. Les femmes enceintes ou même les jeunes mères qui viennent d’accoucher sont conseillées de pratiquer ce genre de traitement pour éviter la période de baby-blues.

Le mot anhédonie définit un symptôme trouvé en cas de syndrome de schizophrénie ou de dépression et dans d’autres problèmes neuropsychiatriques. Divers types d’anhédonie sont discernées aujourd’hui. Elle est une incapacité à reconnaître le plaisir pendant des activités agréables. Ainsi, elle s’agit d’un résultat d’un nombre de facteurs. Elle est aussi prise comme une caractéristique importante de la dépression.

Qu’est-ce que l’anhédonie ?

Beaucoup de personnes vont à se désintéresser de diverses choses qui déjà les passionnaient. Alors, l’anhédonie pousse cette perte vers ses limites. Il est impossible de ressentir du plaisir de choses qui provoquaient autrefois de l’excitation. Ces plaisirs sont la pratique d’un accessoire musical, la nourriture, le sexe ou encore des discussions intéressantes avec ses amis.

En plus des problèmes dépressifs majeurs, l’anhédonie peut se montrer dans le domaine d’autres affections, comme la schizophrénie, la maladie de Parkinson, la psychose,

les problèmes liés à la toxicomanie et l’anorexie nerveuse.

L’anhédonie peut même se manifester dans votre désir de s’adonner à des attitudes à risque, tel que le parachutisme.

Comment la reconnaître ?

Depuis des années, vous n’avez peut-être plus d’émotions, ce que vous ressentez tous les jours est pratiquement nul. Vous n’avez aucune envie de véritablement parler. Car rien de ce que vous faites n’est satisfaisant ou satisfaisant. C’est le cœur de votre anhédonie, un signe de dépression majeure. Vous ne tirez pratiquement aucun profit de votre vie au quotidien ; votre monde semblait être froid. Et il fait que la vie vous paraît être semblable. Tout ce que vous regardez, tout ce que vous faites se ressemble.

Que se passe-t-il dans votre cerveau ? Comme pour l’observation de toutes réponses émotionnelles, l’histoire n’est pas si facile. Les circuits de votre cerveau sont denses, sollicités et alambiqués.

L’anhédonie n’est pas uniquement une appréciation diminuée du goût des aliments mais les mécanismes de récompense subjacents sont altérés. Cela peut inclure des changements des niveaux d’intérêt, d’anticipation, de motivation, de prédiction des efforts et d’attente, qui sont tous pris par des circuits neuronaux dissimilaires mais qui se chevauchent et tous complexes en soi.

Traitement de l’anhédonie

Une combinaison de médicaments psychoactifs et de thérapie est en général le traitement le plus agissant pour soigner la dépression et l’anhédonie. Les médicaments qui changent la façon dont votre cerveau conditionne les récompenses sont utiles pour réussir à guérir l’anhédonie.

Certaines personnes voient également un changement grâce à des améliorations de mode de vie. La méditation, une excellente gestion du temps et les modifications de régime alimentaire peuvent assister certaines personnes à connaître une satisfaction dans leur existence.

Le syndrome du nid vide est très courant au sein des parents. Cela est dû au départ des enfants. Pour éviter ce désagrément, il est conseillé de pratiquer de nouvelles activités sportives, culturelles, sociales, … Il vaut mieux consulter un psychologue. Ce dernier pourra vous donner des recommandations adaptées à votre situation. 

C’est quoi exactement le syndrome du nid vide ?

Après le départ d’un enfant de son domicile familial, certains parents peuvent basculer dans une forme de dépression et souffrent à cause de cette absence. C’est le syndrome du nid vide. Il s’agit, ainsi, d’un trouble subi par les parents. Dans la plupart des cas, il est causé par l’évolution sociétale. Ce type de sentiment peut aller jusqu’à la dépression. Les parents peuvent ressentir une forme de rupture et d’abandon. Dans certaines circonstances, ce désagrément peut causer des conflits et de la tristesse au sein de la famille. Cependant, vous devez savoir que ce syndrome est inconscient. Pour prévenir cela, vous pouvez consulter votre psy. Ce dernier pourra vous expliquer les causes et les choses à faire pour surpasser ce moment. 

Que faire pour bien vivre avec le syndrome du nid vide ?

Pour bien vivre avec le syndrome du nid vide, vous devez bien vous préparer en amont. Vous pouvez donner de l’autonomie à vos enfants en leur permettant de passer des moments chez les grands-parents ou d’aller en colonie de vacances. Il est, aussi, conseillé de cultiver votre vie de couple, culturelle et sociale. N’oubliez pas que ce moment  peut être accompagné de points positifs. Vous pourrez profiter de votre liberté. Vous n’êtes plus obligé de vous soucier de leurs éducations. Avec ce nouveau départ, vous pouvez vous lancer dans de nouveaux projets et retrouver votre intimité avec votre partenaire.

Des conseils pour bien vivre avec le syndrome du nid vide

Vous devez noter que le départ d’un enfant peut changer votre quotidien. Par ailleurs, cela ne dure pas longtemps. Pour bien vivre ce moment, vous devez rester en contact et sans contraintes. Vous pouvez favoriser les textos et utiliser des applications pour des appels audio ou vidéos. Les messages sont les plus appréciés car ils sont moins dérangeants. De toute évidence, vous devez prendre du temps pour vous et votre couple. Vous pouvez vous lancer dans une nouvelle activité. N’hésitez pas à réaliser des activités sportives et culturelles pour passer le temps. De toute façon, l’intervention d’un psychologue est fortement appréciée. 

Le hoquet est une contraction spasmodique et subite du diaphragme ainsi que les muscles intercostaux. La fermeture des cordes vocales arrête l’inspiration et l’air inspiré sera aussi bloqué et produit l’hip du hoquet. Plusieurs astuces peuvent être efficaces pour mettre fin au hoquet.

Détendez votre diaphragme avec des techniques de respiration

Le diaphragme est le muscle principal de la respiration. Des spasmes involontaires provoquent la contraction du diaphragme, produisant le hoquet. Le petit « hip » typique du hoquet est produit par la fermeture des cordes vocales durant la contraction du diaphragme. De temps à autre, un changement de respiration peut détendre votre diaphragme en mettant fin au hoquet. Pour cela, retenez votre respiration pendant au moins 20 secondes, ensuite expirez doucement et lentement. Puis, répétez cette technique, plusieurs fois. Le diaphragme se relâche quand le dioxyde de carbone remplit vos poumons et le hoquet s’arrêtera. D’autre part, mesurez votre respiration de façon lente. Inspirez pendant 5 secondes et l’expiration durera, également, 5 secondes. Maintenez ce rythme en répétant l’exercice jusqu’à ce que le hoquet se termine.

Arrêtez le hoquet en mangeant ou en buvant de l’eau 

Les nerfs reliés au diaphragme peuvent être stimuler par une autre manière de boire ou par la consommation de certains aliments. Buvez de l’eau de l’autre côté du verre ! Ce remède est le plus connu. Tout d’abord levez-vous, ensuite penchez-vous en avant. Votre bouche doit être placée sur le côté du récipient le plus éloigné de vous. Le verre sera, donc, autour de votre menton. Gardez cette position et inclinez le verre pour que vous puissiez boire. Les muscles de votre abdomen se contracteront et le hoquet s’arrêtera. Vous pouvez, également, vous gargariser avec de l’eau froide, avaler plusieurs gorgées rapidement ou sucer un glaçon. L’œsophage se contractera de façon rythmique et force le diaphragme à se détendre. Le hoquet est, généralement, bénin mais s’il persiste au bout de quelques heures, consultez votre médecin car il peut être un signe du reflux gastro-œsophagien.

Quelles techniques pour arrêter le hoquet ?

En étant bénin, le hoquet disparaîtra naturellement après quelques minutes. Il existe plusieurs techniques plus ou moins efficaces pour mettre fin au hoquet. D’après les spécialistes, les plus connus et efficaces sont : le blocage de la respiration pendant 20 secondes, la compression des globes oculaires de façon légère, le tirage de la langue vers l’avant et boire plusieurs gorgées d’eau fraîche. Toutefois, certains posent un sucre sur sa langue mais cette astuce n’est pas très efficace pour tout le monde. Le fait d’avaler des aliments peut, aussi, marcher.

Les premières règles indiquent la première grande transformation dans la vie d’un être du sexe féminin. Ensuite, la maternité survient pour celles qui ont pu avoir des enfants et enfin, la ménopause fait son apparition à un certain âge de la vie que la femme ait vécu la maternité ou non. 

La ménopause

C’est la phase durant laquelle les menstruations d’une femme cessent définitivement. Cette dernière connaîtra donc un autre grand changement dans sa vie notamment dans son corps. En effet, le premier changement dans le corps d’une femme a lieu lors des premières règles. La ménopause survient généralement vers la cinquantaine. Néanmoins, elle peut avoir lieu vers l’âge de quarante ans. Sa survenance dépend ainsi de chaque femme. Certains affirment qu’une femme pourrait être ménopausée au même âge où sa mère a connu sa ménopause. D’autres déclarent que la ménopause peut survenir beaucoup plus tôt pour les femmes stériles, pour celles qui fument et pour les femmes qui ont subi une ablation des ovaires ou ont été l’objet d’une chimiothérapie.

Les signes précurseurs de la ménopause

Il n’est pas vain de noter que les règles deviennent irrégulières avant de s’arrêter définitivement. Pendant cette période, les règles peuvent être légères ou lourdes. La ménopause se manifeste par une sensation de sécheresse dans le vagin et par de la chaleur émanant du corps. Des fois, les femmes en cours de ménopause deviennent insomniaques et éprouvent des difficultés pour s’endormir. L’assemblage de ces signes de la ménopause peut générer de l’angoisse et de dépression chez le sujet. Étant donné que la ménopause est un développement naturel, son traitement sera concentré sur l’apaisement de ces troubles si l’on peut dire. Ainsi, la sécheresse du vagin sera traitée par l’usage des lubrifiants. Des médicaments peuvent être pris pour atténuer les bouffées de chaleur répétitives.

Les conséquences de la ménopause à connaître

La femme ménopausée peut non seulement constater un certain changement dans son corps mais, sa morphologie pourrait éventuellement changer en ce qu’une prise de poids assez conséquente pourrait avoir lieu. Elle est aussi sujette tant à l’ostéoporose qu’aux affections cardiaques et aux diverses infections liées à l’assèchement des muqueuses vaginales. Sur le plan sexuel, la femme peut constater une baisse sur ses envies sexuelles. Bien que la ménopause soit un processus tout à fait naturel dans la vie d’une femme, elle est parfois difficile à supporter en ce qu’elle génère des difficultés telle la perte de mémoire, l’obésité et la baisse du désir sexuel.

Tablettes, TV, ordinateurs et Smartphones, les écrans sont de plus en plus présents dans les foyers. Depuis quelques années, ils envahissent totalement notre quotidien. Raison pour laquelle on constate une hausse d’abus et de sur-utilisation. Pour y remédier et protéger les enfants de tout danger, découvrez les conséquences d’un usage excessif d’écrans. 

Impacts sur le physique

Un usage abusif et incontrôlable des écrans peut avoir des conséquences majeures sur la santé physique. Les mauvaises postures prolongées, par exemple, peuvent entraîner des douleurs ou déclencher des troubles musculosquelettiques (TMS), affectant essentiellement les muscles et tendons des mains, des poignets, des épaules, de la nuque et de la région lombaire. On peut aussi être confronté à des déséquilibres alimentaires. Sachez que, pour un enfant, rester trop longtemps sur un écran favorise grandement l’apparition des problèmes de perte de poids, de surpoids ou d’obésité. De même, cela cause un réel manque d’activité physique qui accroît significativement le risque cardio-vasculaire.

Il ne faut pas non plus oublier les troubles du sommeil, les maux de tête et la fatigue visuelle. Notez que la lumière bleue émise par les écrans inhibe la production de mélatonine (hormone du sommeil) et provoque un état d’excitation, retardant ainsi l’endormissement. Celle-ci a également des effets sur la rétine. D’ailleurs, l’usage excessif d’écrans chez les enfants augmente grandement le risque de myopie et d’autres problèmes oculaires.

Effets sur le plan psychologique et de développement

D’après certaines études, les enfants qui passent beaucoup de temps devant les écrans seraient plus anxieux, plus déprimés et moins heureux que les autres. En effet, cet usage excessif peut générer certains problèmes émotionnels, et même une mauvaise ou faible estime de soi. D’autant plus que l’inactivité durant des heures diminue les moments de partage avec autrui, pouvant empêcher l’enfant de trouver un bon équilibre psychologique. Sachez également que si un enfant fait face trop souvent à des contenus violents (télévision, jeux, etc.), il risque de manquer d’empathie et de devenir plus agressif et impulsif.

D’ailleurs, une surexposition peut totalement le déconnecter du monde extérieur et de tout ce qui l’entoure. N’oublions pas que cela contribue aussi à une croissance significative de l’addiction et de la dépendance. Cela diminuerait également la concentration et l’attention de l’enfant, et provoquerait un amincissement précoce du cortex. Un abus d’écrans aurait également un impact sur les troubles de l’humeur, le stress et l’hyperactivité. Les experts affirment même que les enfants surexposés aux écrans sont plus sujets d’un retard de l’apprentissage et de langage.

Conséquences sur le plan scolaire et social

Des études ont montré que plus un enfant passe du temps devant un écran, plus ses performances scolaires diminuent. Il risque d’ailleurs de développer un moindre intérêt pour l’école et aura davantage des problèmes en mathématiques. Cet usage excessif entraîne également une moindre autonomie, une faible persévérance et une difficulté d’intégration sociale.

Notez également qu’un abus d’écrans chez les enfants peut générer un éloignement social avec son entourage. Effectivement, ces derniers tendraient à se replier sur eux-mêmes et à se désintéresser du réel pour se trouver refuge dans le virtuel. Cela peut les engouffrer vers une désocialisation totale, pouvant contribuer à l’augmentation des risques de problèmes psychologiques et compromettre leurs études.

Suivant le fondement de la méditation, des pauses de l’esprit sont essentielles pour la santé physique mentale et d’un individu. L’esprit, souvent préoccupé par des émotions, des situations ou des pensées, n’a plus le temps d’assimiler les informations et d’élargir son sens de concentration. Cependant, cette dernière est indispensable pour gérer les difficultés, l’angoisse tout en développant une plus grande présence à l’instant présente. Ainsi, la personne voulant méditer se focalise sur un son ou un objet pour ne pas être distrait par les pensées.

Quelles sont les vertus de la méditation ?

En général, la méditation est une pratique permettant d’octroyer une pause à son esprit et aux concepts qu’il procrée. En effet, cette méthode permet d’aiguiser votre capacité de réflexion, de réduire les troubles obsessionnels compulsionnels tout en luttant contre l’anxiété et le stress. De ce fait, elle est efficace pour anticiper les rechutes dépressives et troublées chez les personnes fragiles, car la méditation peut favoriser l’activité cérébrale des parties associées aux émotions positives comme l’enthousiasme ou la joie. De plus, elle peut aider les gens souffrant de maladies chroniques tout en prévenant les troubles cardiovasculaires. La méditation propose donc plusieurs bienfaits pour votre corps.

Quels sont les divers types de méditation ?

La méditation de pleine conscience est souvent utilisée en médecine, surtout en psychiatrie. Elle permet d’acquérir une stabilisation de l’esprit. Ce genre d’application a été codifié et a fait le sujet de plusieurs recherches médicales. En revanche, la méditation bouddhique est composée de nombreuses approches comme la méditation zazen, Vipassana et le recueillement tibétain. La méditation transcendantale est vue comme une méthode de relaxation et de développement individuel pour aboutir à une conscience totale qui convertit les autres niveaux de cognition.

Comment pratiquer la méditation ?

Dans cette démarche, il est conseillé de vous informer sur la méditation avant d’entamer une pratique sur le long terme. Cela permet d’interpréter si la discipline provoque chez vous une réelle convoitise ou si vous vous sentez étranger à la méditation. Lorsque votre intérêt pour cette dernière se confirme, vous pouvez rejoindre un groupe afin de partager l’expérience. Pour obtenir des résultats, la pratique de cette application sollicite de l’assiduité et de la patience.

La méditation offre donc plusieurs bienfaits pour votre corps. Elle peut se faire en marchant, en étant assis ou debout. La position la plus expérimentée dans ce genre de pratique est celle du lotus avec les jambes croisées. Par ailleurs, les lieux de méditation sont variés, vous pouvez méditer dans un jardin, une pièce ou un centre dédié.

Subir une opération en étant sous hypnose n’est pas une pratique nouvelle, mais aujourd’hui, de plus en plus de patients s’interrogent sur la réelle faisabilité de cette intervention. Selon les spécialistes, il s’agit d’une technique permettant de réduire la dose d’anesthésie administrée, mais elle ne la remplace cependant pas.

Pourquoi choisir une intervention sous hypnose ?

En règle générale, l’hypnose permet d’induire un état de calme et d’immobilité chez le patient, une tâche qui peut s’avérer compliquée avec les médicaments si l’intervention dure plusieurs heures. Dans ce cas, l’hypnose médicale aura pour but d’aider la personne à mettre en veille ses fonctions cognitives, ce qui évite l’anesthésie générale.

Cette solution est souvent privilégiée puisqu’elle permet de réduire les produits injectés, limitant par la même occasion leurs effets secondaires après l’intervention. Par ailleurs, une opération sous hypnose est parfaitement adaptée pour les patients fragiles sur le plan cardiaque et ceux qui supportent mal l’anesthésie générale.

Quelles sont les chirurgies possibles sous hypnose ?

Pour les médecins anesthésistes, l’hypnose médicale ne réduit la douleur qu’à 50 % ainsi, à elle seule, elle ne convient pas à tous les types d’interventions. Quoi qu’il en soit, il est possible de recourir à cette technique pour un grand nombre d’opérations : main et pied, dents, peau, sein, nez, etc.

La plupart du temps, toutes les chirurgies correctrices mineures peuvent être réalisées sous hypnose : liposuccion, correction des paupières, extraction dents de sagesse, etc. Certaines interventions majeures comme la césarienne, la rhinoplastie ou la greffe osseuse sont également éligibles à la pratique. Mais dans ce cas, le patient devra tout de même recevoir une anesthésie locale pour éviter les désagréments.

Vu l’importance des opérations cardiaques, digestives, pulmonaires et la greffe de foie, ces dernières devront systématiquement nécessiter une anesthésie générale.

Pourquoi la chirurgie sous hypnose est-elle rarement proposée ?

Tout simplement, car certains établissements manquent de ressources hospitalières. En effet, l’anesthésiste devra rester aux côtés du patient tout au long de l’opération, ce qui n’est pas toujours possible. Parfois, l’intervention doit être interrompue afin d’approfondir la transe, ce qui prolonge le temps au bloc opératoire. Plusieurs cliniques proposent déjà des casques VR pour maintenir le patient dans son état, mais cela implique aussi des ressources financières, pas forcément accessibles à tous les chirurgiens.

En tout cas, les avantages à en tirer ne sont pas négligeables. De ce fait, avant de décider, pensez à bien en discuter avec votre médecin afin de connaître les possibilités à envisager en fonction de votre état de santé.

Les plantes réputées pour soigner les troubles du sommeil ont toutes des propriétés sédatives : calmantes et apaisantes. Elles sont au nombre de six à être recommandées : la valériane, la passiflore, la mélisse, le houblon, l’aubépine et l’eschscholtzia. Les principes actifs sont conditionnés sous forme de médicaments en extraits ou en gélules, en comprimés ou naturellement en infusâtes pour être ingérées en infusion. Il existe donc plusieurs façons de traiter les troubles du sommeil par la phytothérapie.

Les troubles du sommeil

         Les causes

Les causes d’un mauvais sommeil sont multiples. La narcolepsie (sommeil paradoxal non contrôlé), l’apnée du sommeil, (interruption de l’arrivée de l’air aux poumons) le syndrome des jambes sans repos (impatience), les troubles du rythme circadien (dérèglement de l’horloge biologique)…. Avec le nombre croissant des origines des troubles de cet élément vital dans la vie, cette pathologie est devenue un fléau pour la société et constitue un motif de consultation médicale chez le médecin généraliste.

          Les conséquences

Elles sont plus néfastes qu’on ne veut l’admettre;L’insomnie, donc l’insuffisance de sommeil est à l’origine d’une souffrance quasi permanente du corps, de surpoids, de problèmes cardiovasculaires graves, de l’hypertension, du diabète, de dérangements gastro-intestinaux, d’une baisse des défenses immunitaires, d’une fragilisation face aux infections, La dépression, des difficultés à apprendre, une scolarité difficile chez les jeunes et la survenue d’accidents peuvent être imputables à un trouble du sommeil. De même pour la baisse de vigilance.

Des thérapies utilisées, celle par les plantes occupe une grande place.

La phytothérapie pour combattre l’insomnie

Les principales plantes utilisées, dont les conditionnements ont été évoqués et qui contiennent des principes actifs sédatifs sont :

Conseils pour une bonne nuit

 Si l’apport des plantes est sans conteste, de bonnes habitudes de vie viendront décupler leurs effets. Ainsi :  

Combattre l’insomnie par les plantes est judicieux de par l’absence de produits chimiques. Les compléter par des habitudes de vie saines vous aidera à faire de votre trouble du sommeil un mauvais souvenir.

Grippe, bronchiolite, gastro-entérite… Plusieurs sont les infections qui peuvent vous contaminer durant l’hiver. Pour lutter contre ces derniers, il faut se préparer à l’avance pour bien accueillir cette saison en toute sérénité. Alors, pour y faire face, songez à faire quelques exercices physiques et à bien vous alimenter. Cependant, quels sont les remèdes naturels à opter pour se préparer à l’hiver ?

Le jus de citron, le remède incontournable

Avec le froid et la fatigue que l’hiver vous réserve, comme chaque année, vous risquez de tomber malade à tout moment. Alors, pour remédier à cela, songez à préparer l’arrivée de cette saison en renforçant votre système immunitaire avec des remèdes naturels bien évidemment.

Si vous voulez donc avoir une bonne mine même en plein hiver, le jus de citron devra être votre meilleur allié. En fait, grâce à ces composants comme le calcium, la vitamine C et l’acide citrique, le citron peut renforcer votre organisme. Pour qu’il puisse garder ses promesses, versez quelques gouttes de jus de citron dans un verre d’eau tiède et buvez-la dès votre réveil.

Le lait au miel, un remède naturel très efficace

Gorge douloureuse ? Pas de panique, vous pouvez tout simplement la guérir avec des remèdes naturels. En fait, pour vos maux de gorge, vous n’avez qu’à prendre une tasse de lait bien chaud au miel et le tour sera joué. En plus, avec ce dernier, même vos enfants peuvent en profiter.

Ce remède est aussi facile à préparer, alors que chercher de plus ? Pour le préparer, vous n’avez qu’à mélanger votre lait avec une cuillère à soupe de miel et le boire tant que le lait est bien chaud. Le petit plus est que vous pouvez en prendre 4 à 5 fois par jour.

L’huile essentielle, un remède pour tous

Mais à part le citron, le miel et le lait, l’huile essentielle est aussi un remède vraiment efficace pour affronter l’hiver. Alors, pour ne pas tomber malade, songez à utiliser régulièrement ce genre d’huile. En plus, si vous avez du mal à vous endormir la nuit, l’huile essentielle vous aidera à trouver un sommeil de qualité. Pour être encore plus efficace, verser quelques gouttes dans votre mouchoir et respirez-la d’un coup avant de vous coucher.

Comme vous le saviez, pour renforcer votre système immunitaire, vous devez également faire quelques exercices physiques. Du coup, mettez-vous au sport si vous ne voulez pas rester cloîtré sur votre lit durant l’hiver.

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